DESEMPARE
Hier ta voix, aujourd'hui ton silence,
C'est l'histoire d'un amour qui s'élance,
Et retombe en plein vol, les ailes coupées,
Sur le sol un bruit mat et étouffé.
Dans l'indifférence de l'univers,
il reste là, qui attend et se perd,
Ce rêve pendu entre ciel et terre,
Encore accroché à toi par quelques vers.
Comme un cristal qui se brise en mille éclats,
Laissant mon vieux cœur fatigué et bien las,
Courir encore après le temps d'attendre,
A nouveau ta voix et quelques mots tendres.
J'ai le sentiment d'être au bout du chemin
Seule et silencieuse, du vide entre les mains,
Avec le temps qui toque à la pendule,
Et moi qui t'attends au feu qui me brûle.
Douce rosée
Quand le matin vient déposer
Sur les doux pétales de fleurs
De tendres gouttes de rosée
Ce sont les larmes de mon coeur
Puis le soleil va allumer
Avec ses beaux rayons ardents
Les douces larmes vont briller
Comme l'étoile au firmament
C'est quand la nature s'éveille
Que dans mon coeur s'épanouit
L'amour pour notre belle terre
Qui,par sa beauté m'éblouit
Et rien que pour voir ces merveilles
ça vaut la peine d'exister
D'écouter la voix sans-pareille
Du doux appel de la forêt
Je sens mon coeur rempli d'amour
De pouvoir toujours contempler
Tout ce qui fait briller mes jours
Pour moi c'est ça la liberté
Et quand le soleil bleu d'azur
Se reflète sur l'océan
Je sens une bouffée d'air pur
Qui me fait oublier le temps
Viens voyager avec moi au fond du monde
Viens a l’étroit de l’amour, que je t’inonde
Viens dans la force de mes mots en musique
Viens dans les notes de mes vers quantiques
Je serais ici à te faire voyager
Je serais la a t’écouter
Pour toi, mes larmes seront cristaux
Pour toi, mon âme sera bateau
Qui t’emmènera au delà des licornes
Qui te fera vie jamais morne
Chevaucher les mondes a la tombée du soir
Passer les nuages, même dans le noir
Ira au delà du pays de Valparaiso
Saluer Alger, New York, Vienne et Tokyo
Laisses-toi emmener, car je vais perdre mes ailes
Je veux te déposer a bon port, sans martèle
Je veux ce beau sourire à ton visage
Qu’aucune peine ne touchera, à peine l’âge
Mes jours s’en vont, j’ai ouvert la vie
Celle que je t’offre et te dis merci
J’ai laisse mon âme chez la plus belle fonction
Pour donner de moi-même, sans restrictions
Mes doigts serrent cette unique plume
Celle de la messagère de la lune
Ou de mes dunes, les grains de sable
On été nombreux comme mes plus belles fables
J’ai compte cette nuit, mes vœux, que j’ai appris
Dans les rayons des anges qui m’ont dit
Que nul ne peut apprivoiser l’amour
Que nous tous sommes, en fait, l’amour
Que les larmes sont nos âmes sensibles
Que les rires sont nos cœurs invisibles
Alors, viens ! Viens ! Ouvres ma porte
De mes mondes qui t’attendent, en quelques sortes
Te donner du rêve en trois dimensions
Te donner une trêve de nos unions
Faire briller tes yeux de joie
Faire luire ton cœur une autre fois
Ton clavier et ton écran sont toi et moi
Toi, mon ami (e)a vie, en moi
Dis-toi que tu es mon hôte, dans mon espace
Et que ce que je vis, sera ici, ma trace
Quand je m’en irais, je te les laisserais
Ne verses pas de larmes, tu auras été
Le passager de mon cœur, en vie, ici bas
Le bienvenu de mon âme, en tous les cas
Viens et ouvres les portes de mes étoiles
De mon art et de ma foret a ma toile
Je t’offre ce que j’ai en ma richesse
De te donner de mon cœur et de ma tendresse….